Correction de l'exercice 2
Elles virent un gros chien ébouriffé,
et qui marchait la tête basse. Il paraissait
de mauvaise humeur ; sous ses babines retroussées luisaient des crocs pointus, et il avait une grande langue qui pendait pas terre. Soudain, sa queue se balança d'un mouvement vif et il se mit (à courir) au bord de la route, mais si
maladroitement qu'il alla donner de la tête
contre un arbre. La surprise le fit reculer, et
il eut un grondement de colère. Les deux petites filles s'étaient arrêtées au milieu
du chemin et se serraient l'une contre l'autre.
Continue avec l'exercice 3 !